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Voici mon récit. J'ai fait ce que je pouvais.
LEFT 4 DEAD
Capital's infected
no issue. no cure. what's the problem?
Nous sommes le 25 Novembre 2011, la température est de quelques degrés une dizaine je crois le soleil est quand à lui bien présent depuis des heures. Actuellement nous traversons les Champs Elisées de Paris. Enfin de ce qui reste de cette si belle capitale. Nous sommes seulement neuf survivants dans cette jungle urbaine, Heyfa (Hitsumey), Nathalie (NC), Julie (CoolGrisou), Tony (TonyX), Nicolas (Phénix87), Tristan (Maniactiti), Corentin (The Other Boy Croft), Lucien (Teslo) et moi Vivien (Kain). La panique est à son comble, les blessures sont très nombreuses sur chacun d'entre nous. Il y en a même certain qui boite encore. Les kits de premiers secours sont presque tous utilisés, il ne reste que celui de Nathalie Lucien et le mien. Pour le moment on se trouve dans l'entrée d'un immeuble en proie avec les flammes et dehors se trouve des hommes et femmes marchant sans but précis. Lucien et moi sortions nos tête de temps à autre pour observer les environs, Tristan Tony et Corentin restaient avec les filles pour s'assurer de la sécurité du groupe. Une dernière tentative nous indiquait la voie libre.
Mais à peine suis-je sortie qu'un cri cri spécial indiquait la présence de cette chose qui me sautait dessus il portais un sweat a capuche qui couvrait la majeur partie de son visage. Ce qu'il nous montrait le plus était ses lèvres et dents ensanglanté. Maintenant au sol la panique m'ayant submergé je n'arrivais pas à coordonner mes bras pour le dégager de là, a chaque fois qu'il plantais ses doigt crochu je pouvais sentir une douleur affligeante. Il balançait mon sang comme s'il nourrissait des monstres aux alentour avec, s'il parlait il aurait dit allez y servez vous. mais je fus secouru par Julie et Lucien. En me relevant grâce à leur aide on pouvait voir mon sang étalé par terre et qui continuait de couler par les différentes ouvertures. Je me savais pas médecin mais je pensais que mes jours se trouvaient désormais compté. Nous étions armés … non pas de pistolet à eau... Nath avait deux 9mm Julie et Heyfa avait un fusil sniper Lucien Corentin et Tristan ont un fusil automatique, Nicolas et moi avions un M4. Pendant que les infirmières Julie et Heyfa pensait mes blessures comme elles pouvaient, les autres faisaient le plein de munitions qui traînaient dans les parages.
Lucien sortait désormais le premier car Tony et Corentin m'aidaient à marcher. En tournant dans une petite ruelle nous entendions très finement des pleures. Plus on avançait plus ils se distinguaient, mais toujours prudemment on avançait. Quand le mur se retirait de nos yeux on pouvait voir une femme à genou sur la route. Les pleures venaient d'elle mais même si elle semblait encore humaine le fait de l'approcher nous faisait frissonner. Lucien tentait une approche en douceur quand celle ci se retournait vers lui en grognant ce qui le terrifiait, les cheveux blonds avec une peau si pâle faisait pire que contraste, alors il rebroussait chemin revenant vers nous à reculons pour ne pas la quitter des yeux. Après une brève observation des lieux, le seul chemin conduisant à la sortie ...du moins on l'espérait... se trouvait avec cette chose en plein milieu du chemin. On devait passer sans la déranger, notre instinct de survie nous le recommandait. En approchant du passage et donc de cette étrangère ses yeux d'un rouge sang se pointaient sur nous. Plus on restait là à la regarder plus elle semblait se lever avec des rugissement qui ne présageaient rien de bon. On devait se bouger mais la peur nous maintenait là, c'est alors que par surprise un coup de feu retentis dans sa direction. Elle se levait sans sourcillé et bras en l'air criant à tue tête courrai vers on agresseur, alors que tout le monde se mettait à tirer sur elle pour la tuer, elle continuait son chemin. Sans réfléchir ni bouger le canon de nos arme la suivaient et elle poussait cette foule et d'un coup de griffe précis plaqua son ennemi au sol et par rage déchiquetait sa victime sur le sol, mais finalement elle s'écroula dans un cri strident si puissant qu'il nous perçait les oreilles.
Voulant sauver notre ami nous avions vus que son ventre était ouvert en grand, on pouvait voir tout ce qu'il contenait sortir peu a peu avec une marre de sang autour de lui. En avançant vers notre but l'attention de tout le monde fut balayé et ce qui causa notre perte. Un monstre énorme des bras encore plus gros que mes cuisses un torse puissamment déployé. En faite aurai dit hulk en zombie, nous tomba dessus sans même comprendre ce qui nous arrivait. Une fois à sa porté et d'une simple claque on volait tous. Je me relevais mais avec difficultés, en regardant autour de moi je voyais Nath embroché sur un pic accroché sur le mur derrière elle, son regard m'en disait long sur sa souffrance. La panique l'ayant prise elle tenta d'arracher ce pieu pour se libéré mais en vains. Je la regardais oubliant celui qui en était l'auteur. Je la vis mourir impuissant. Tony Tristan et Corentin se retrouvaient écrasé entre le sol et une voiture retourné Corentin eu le crâne défoncé et sa cervelle les entourait Tony avait la cage thoracique broyer quelque une de ses côte lui perçaient même les poumon dont une le coeur. Tristan quand à lui je ne crois pas le le moindre os soit intact le crâne doit être tout aussi bon état que celui de Corentin. En me relevant difficilement j'aidais Lucien et ensuite Nicolas à leurs tour. Heyfa se retrouvait avec ce monstre sur elle qui avait levé ses bras comme pour l'écraser. Le second souffle nous prenant on tirait sur lui pour la sauver mais son coup partis quand même écrasant sa cage thoracique. Désormais si l'envie nous en prenait on pouvait voir tous les organes en vrai. Il se retournait pour ensuite s'occuper de nous, mais on ripostait comme des fous poussés par l'instinct de survie. Alors qu'il approchait dangereusement de moi, il tombait de tout son poids devant mes pieds.
Lentement en regardant les morts, des larmes coulaient sur nos joues. La pensé de mourir dans cet enfer nous gagnait peu à peu. Avec ce qu'on venait de subir, nous boitions tellement que tous seul dans cette folie, nous aurait emporter dans cette dégénérescence. On voyait au loin des hommes armés venant vers nous. En nous regardant ils couraient mais voulaient-ils nous aider? Une fois à notre portés nous discutions avec eux pour leurs dire les nouvelles. Nous encerclant pour nous protéger une autre de ces bestiole leurs tombèrent dessus. On pouvait en voir un se faire déchiqueter comme moi précédemment, son sang volait à tous va. Sa cage était ouverte en partie, les os tenaient mais les muscles avaient cédé. Cet homme n'avait pas fait long feu car un autre avait été attiré par la langue d'un autre infecté je le vis a peine mais j'avais vue une tête difforme. Comme si des pustule lui avait poussé sur le menton ainsi que la joue droite formant une seule masse. Tenu par cette langue il ne pouvait bouger, une fois ramener à lui ce machin frappait sans retenus le soldat qu'il avait attraper.
Un gros tas venait dans notre direction, on savait qu'il ne fallait surtout pas l'approcher. Sa bile qu'il vous vomi dessus attire tous les infectés des environs et au lieu d'en voir deux trois part endroit c'était la visite d'une petite cinquantaine qui vous tombait dessus. Lucien tira sur lui et prenant deux belle prune dans le bide il explosait dans un fracas projetant sa bile et son sang dans toute les directions. On tirai par la suite sur l'infecté le plus agile pour le chasser, mais il revenait à la charge et ce jusqu'à sa mort. Quand à l'autre avec sa langue il tenta de nous surprendre mais c'était nous qui l'avions pris par surprise et le prenant par l'arrière. Lors de sa mort il projeta une fumé verte qui nous faisait tousser mais non toxique. En avançant encore, l'armée basé plus loin nous avait vus et envoyait des hommes pour nous récupérer. Maintenant qu'ils nous entouraient, l'escorte vers la sortie commençait pour nous. Les larmes qui coulaient plus tôt sortirent de nouveau mais plus fortement qu'avant, cette fois la fin du cauchemar débutait. Pendant le transport je décédais cause d'une trop grande perte de sang. Lucien se trouvait désormais le seul survivant de ces derniers jours. Le choc si brutal eu raison de son mental et finissait sa vie dans une clinique psychiatrique où il finissait sa vie pris par la folie du tourment éternel.
_________________  C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.
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Félicitations ! C'est ce que j'appelle un texte gore, ce n'est pas déplaisant mais je note tout de même un manque flagrant de dialogues et aucun humour noir. Sinon, je remarque aussi un net progrès dans ta narration, beaucoup plus maîtrisée qu'auparavant ainsi que dans ton écriture. C'est assez fluide, bien présenté, quelques erreurs de temps par moment mais à part ça, bravo !
