Ne ment pas Lucien! Je l'ai vu dans ton armoire!
La suite.
Le coup de feu retentissait dans toute les rues. Le costaud avait comprit qu'il y avait un gêneur mais qu'il venait de se faire abattre. Lucien avait tenter des coups mais le barbare sentait ça comme des piqûres de moustiques. Chaque coups le faisait rire, il l'encourageait même à frapper plus fort. Mais plus il tentait, plus il se fatiguait. Le costaud fini par le frapper à la tête. Il tentait de se relever, mais étant à moitié conscient et d'une faiblesse avancé, il avait beaucoup de mal. Il était même encore plus blessé, la plus part du corps se retrouvait ensanglanté. Il avait même beaucoup de mal à bouger son bras gauche. L'oeil droit refusait de s'ouvrir et le gauche se trouvait ouvert qu'à moitié.
Le costaud fini par prendre la parole.
«Tu aurai du nous laisser faire.
-: Pas qu... question. Souffla Lucien péniblement.
-: Tu n'aurai pas été dans cet état...
-: Car il serai mort! Le coupais-je sèchement.»
Il se retournait voulant savoir qui avait bien pus parler.
« Mais tu n'a pas rencontrer mes hommes? Me questionna t-il.
-: Tes hommes? Je faisais semblant de réfléchir un petit instant, puis je reprenais. HAAAAAAA! Tu parles des comiques qui surveillaient ce c** de sac? Leur numéro n'est pas au point.
-: Mais que sont-il devenus?
-: Il n'y a qu'un seul encore vivant. Si c'est ce que tu veux savoir.
-: Tu m'a l'air bien mal en point.
-: Mais ça ne m'empêchera pas de te botter le c**.
-: Tu m'a l'air sur de toi.
-: Je te laisse le choix. Soit tu te barre et tu sera entier, soit tu le touche encore une fois...
-: Et tu me fera quoi?
-: Je ne sais pas, c'est en fonction du combat.
-: Ne... l'éner...ve ppp...pas. Me lançais Lucien difficilement.»
C'est alors qu'il riait de nouveau, avec un mouvement de son bras droit. Il assommait Lucien qui tombait sur le sol, de toute sa hauteur. Voyant ça j'étais en pétard. Je n'avais qu'un seul désir. Venger l'un de mes rare amis de cette île. Il approchait de moi avec l'intention d'en finir une fois pour toute avec nous tous. En commençant par moi, pour lui j'étais la menace première à éliminer. Puis ça aurai été le tour de Lucien et finirai avec Eugénie. Dans sa tête le combat aurai duré très peu de temps, par de multiple façon. Si je devais en faire la liste, vous devriez réserver toute une journée pour les avoir toutes.
Il continuait à avancer, plus il approchait plus mon coeur battait la chamade. Alors qu'il commençait juste à ralentir après ces précédents combats contre ces rigolos. Il marchait sur de lui, mais un certain désagrément le tenaillait. Après tout à moi tous seul, j'avais tué cinq de ses hommes et assommé le sixième. Pourquoi laisser un homme comme lui encore en vie. Je devais d'abord sauver Lucien et Eugénie de ce type.
Reprenant mes esprit mélanger à des réflexes fulgurantes j'évitais de justesse son coup de couteau vers ma tête. Il tentais sa chance de nouveau, mais encore esquivé. Il tentait encore et toujours, mais manque de chance pour lui aucune attaque ne parvenaient à sa cible. La douzième m'avait coupé la joue de gauche, sur quelques centimètres. Une blessure de plus ou de moins, au point où j'en étais. Voyant la réussite de son coup il riait au éclat. Grave erreur de sa part.
Malgré mes blessures, ma rapidité d'action n'avait que très peu baissé. Je me faufilais derrière lui avec son bras gauche. En montant d'un coup sec, je lui avais déboîté son épaule. Avec sa main droite il sortait de son étuis un 357 Magnum calibre 38. Et tira un coup de feu en ma direction...
_________________

C’est étrange de voir cet endroit longtemps avant ma naissance. Ces édifices seront condamnés aux ténèbres et à la déchéance. Je provoquerai leur chute et je construirai mon empire sur leurs ruines.